France vs Maroc : comparez le coût d’un projet immobilier de 80 m²
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Face aux coûts immobiliers élevés en France, de plus en plus d’investisseurs s’intéressent au Maroc pour leurs projets. Peut-on vraiment construire ou rénover moins cher à l’étranger tout en conservant la même qualité de prestation ? Pour le découvrir, nous proposons un comparatif chiffré France vs Maroc sur un projet type de 80 m². Nous analyserons les principaux postes de dépenses : frais de gestion, travaux, ameublement, masse salariale afin de mettre en lumière les écarts de coûts entre les deux pays. Enfin, nous verrons quels avantages stratégiques un tel différentiel offre aux investisseurs et comment Stoniz peut vous accompagner pour en tirer parti.
Frais de gestion : un pilotage de projet 50 % moins cher au Maroc
Les frais de gestion correspondent au suivi global du projet immobilier (pilotage, coordination, etc.). En France, faire appel à un contractant général ou à un maître d’œuvre pour ce pilotage peut représenter des honoraires conséquents.
Dans notre exemple de 80 m², le suivi de projet en France coûte environ 30 000 €, contre 20 000 € au Maroc avec Stoniz. Cela signifie que la France est 50 % plus chère sur ce poste.
En d’autres termes, les honoraires de gestion de projet au Maroc restent très compétitifs à savoir environ la moitié du coût français tout en assurant un accompagnement professionnel de qualité. Ce différentiel modéré montre que même en incluant un suivi de chantier rigoureux, les honoraires au Maroc demeurent très avantageux pour l’investisseur.
À noter : Les modalités de facturation du suivi de projet sont souvent indexées sur l’avancement (par exemple : démarrage de mission, signature d’actes, livraison…). Avec Stoniz, ces étapes vous reviennent moins cher, alors qu’en France les pourcentages atteignent fréquemment 12–15 % du budget par phase. Investir au Maroc avec une société spécialisée permet d’économiser sur la gestion et d’éviter les pièges d’un projet à distance.

Travaux et ameublement : des coûts divisés
Le gros du budget d’un projet immobilier concerne les travaux (construction ou rénovation) et l’ameublement. C’est là que les écarts France vs Maroc sont les plus marqués.
Travaux (construction/rénovation)
En France, le coût moyen d’une rénovation complète avoisine environ 1 000 € par m² en 2025. Pour 80 m², on atteint ainsi environ 80 000 € de travaux.
Au Maroc, il est possible de réaliser le même chantier pour environ 32 000 € (soit 400 € par m² seulement).
Le coût des travaux y est donc réduit de 60 %, ou dit autrement, la France revient +150 % plus cher sur ce poste. Cette différence considérable s’explique par des coûts de main-d’œuvre et de matériaux plus abordables au Maroc, sans sacrifier la qualité de construction.
Par exemple, les ouvriers qualifiés gagnent autour de 300 à 600 MAD par jour ( environ 27–55 €) , un niveau bien inférieur aux tarifs européens. De même, construire une maison de standing standard au Maroc coûte environ 6 000 à 8 000 MAD/m² (soit 550–750 €) , et une construction basique peut descendre vers 4 000 MAD/m² (soit 370 €). C’est le plus grand différentiel de notre étude (+150 %), offrant un véritable effet de levier pour maximiser le ROI du projet.
Ameublement complet
Faire équiper et meubler intégralement un appartement de 80 m² coûte également moins cher au Maroc. En France, un ameublement équivalent vous reviendrait environ à 12 000 € (en se basant sur des fournisseurs professionnels comme IKEA, Maisons du Monde, Roche Bobois, etc...).
Là encore, le réseau local de Stoniz et la disponibilité de mobilier de qualité à des prix inférieurs permettent de maîtriser le budget. Par exemple, de grandes enseignes comme IKEA sont présentes au Maroc et pratiquent des tarifs attractifs pour équiper un logement. De plus, l’artisanat local offre des meubles sur-mesure à des coûts compétitifs.
Au Maroc, pour un appartement de 80 m² comprenant deux suites en moyenne, l’ameublement complet s’élève plutôt à 46 000 € (rénovation + ameublement), contre 92 000 € en France, soit une facture en France 2× plus lourde qu’à Marrakech pour la même prestation clé en main.
Masse salariale : des experts 30 à 50 % moins coûteux qu’en France
Qui dit projet immobilier dit intervention de nombreux professionnels (architecte d’intérieur, chef de chantier, conducteur de travaux, etc.). La masse salariale allouée à ces experts pèse dans le budget global, et ici encore, le Maroc offre un net avantage.
En France, les salaires du secteur BTP/immobilier sont élevés. Par exemple, un architecte d’intérieur indépendant gagne en moyenne 1 500 € par mois , et un conducteur de travaux expérimenté peut percevoir autour de 3 500–4 000 € nets mensuels .
À l’inverse, au Maroc, les rémunérations pour des compétences équivalentes sont beaucoup plus basses. Le salaire moyen d’un architecte au Maroc est d’environ 756 € par mois , soit quasiment 2 fois moins que son homologue français.
Sur la durée d’un chantier de 80 m² (environ 3 mois dans notre hypothèse), l’ensemble des salaires des intervenants représenterait environ 42 600 € en France, contre 27 225 € avec Stoniz au Maroc.
La France dépense ainsi 56 % de plus pour mobiliser ces mêmes profils professionnels. En d’autres termes, la masse salariale nécessaire au bon déroulement du projet est presque 1,6× plus élevée côté français.
Ce différentiel s’explique par le niveau général des rémunérations plus bas au Maroc, mais aussi par l’optimisation réalisée par Stoniz qui mutualise certaines ressources locales sur place.
Pour l’investisseur, cela signifie qu’il est possible d’avoir une équipe d’experts qualifiés pilotant le projet au Maroc pour un coût très raisonnable comparé aux standards français.
Bilan financier : un projet 1,9× plus rentable à Marrakech 📊
Quel est le verdict financier global pour notre projet de 80 m² une fois tous les postes additionnés ? Sans surprise, l’avantage penche nettement du côté du Maroc. Le tableau ci-dessous récapitule les coûts par catégorie, France vs Maroc, ainsi que les écarts en pourcentage :

En France, le coût total d’un tel projet atteint environ 164 600 € avec une entreprise classique, contre 86 225 € seulement au Maroc avec Stoniz.
Cela représente une économie moyenne de 78 000 € par projet. Dit autrement, à prestation équivalente, réaliser votre investissement immobilier au Maroc vous revient presque deux fois moins cher qu’en France.
Pour un investisseur, cette différence de taille se traduit immédiatement par une rentabilité améliorée. En effet, à revenus locatifs comparables, un projet à Marrakech de 86 000€ générera mécaniquement beaucoup plus de rendement qu’un projet à 164 000€ en France, puisqu’il aura fallu engager deux fois moins de capital pour une valeur d’usage équivalente. Au-delà des chiffres, ce bilan financier très favorable au Maroc conforte l’intérêt de diversifier ses placements immobiliers à l’international.
À ce stade, une question légitime peut se poser : qu’en est-il du marché et de la demande locative au Maroc ? Des villes dynamiques comme Marrakech ou Casablanca offrent de belles perspectives, avec une valeur locative en croissance et un afflux constant de locataires (résidents locaux, expatriés et touristes).
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Bénéfices pour les investisseurs : rendement et diversification
Réduire de près de moitié le coût d’un projet tout en obtenant un bien immobilier de qualité, c’est le pari gagnant de l’investissement au Maroc via Stoniz. Concrètement, cet écart de coûts France vs Maroc offre plusieurs avantages majeurs pour les investisseurs :
- Rendement locatif net boosté : Moins d’investissement initial pour un loyer potentiel équivalent signifie un rendement beaucoup plus élevé. Votre bien dégage un meilleur ROI car les économies réalisées sur le coût d’acquisition/rénovation se traduisent par une part de revenus nets supérieure. Par exemple, économiser 78 000 € sur le projet permet d’augmenter significativement le taux de rentabilité locative dès la première année. En pratique, le rendement locatif brut moyen au Maroc peut atteindre 15% à Marrakech , alors qu’en France la rentabilité brute moyenne stagne autour de 4,4 % (avec seulement ~3,5 % dans des grandes villes comme Paris ou Lyon ). L’investissement au Maroc offre donc un cash-flow plus intéressant dès le départ.
- Diversification hors zone euro: Investir au Maroc permet de développer son patrimoine à l’international tout en diversifiant ses actifs.
Détenir une partie de son patrimoine en dehors de la zone euro offre une exposition à d’autres dynamiques économiques et monétaires, ce qui contribue à mieux équilibrer son portefeuille global. C’est l’occasion de se positionner sur un marché en croissance, de répartir les risques sur plusieurs zones géographiques et de profiter des spécificités locales (cadre fiscal, dynamisme touristique…) en toute sécurité grâce à l’accompagnement d’un expert.
Naturellement, réussir une telle opération nécessite de bien connaître le terrain local. C’est justement la mission de Stoniz : vous offrir un service clé en main qui sécurise chaque étape (de la chasse du bien à la rénovation et jusqu’à la gestion locative), tout en maximisant la rentabilité de votre projet.
Opter pour le Maroc plutôt que la France pour un projet immobilier de 80 m² peut quasiment doubler votre rentabilité grâce aux économies réalisées sur les frais de gestion, les travaux, l’ameublement et la masse salariale. Ce comparatif des coûts montre qu’à qualité égale, investir au Maroc avec l’accompagnement de Stoniz est un choix judicieux pour qui souhaite allier économie et performance locative.
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Il est tout à fait possible de réaliser un projet immobilier au Maroc sans y résider, à condition d’avoir un relais local fiable. Vous pouvez mandater un maître d’œuvre, un architecte indépendant ou une société de contractant général comme Stoniz pour superviser le chantier, coordonner les artisans et contrôler la qualité. Beaucoup d’investisseurs étrangers optent pour une solution clé en main : Stoniz, par exemple, gère tout de la recherche du bien à la rénovation, la décoration et même la gestion locative. Grâce aux outils digitaux (rapports, photos, visio), vous suivez l’avancement à distance et investissez sereinement depuis l’étranger.
Oui, on peut obtenir au Maroc une qualité de construction équivalente à celle de la France. De nombreux artisans et entreprises locales appliquent les normes internationales et utilisent des matériaux aux standards européens. Plusieurs sociétés étrangères, dont françaises, forment aussi les équipes aux meilleures pratiques. L’essentiel est de choisir des professionnels fiables et de bien encadrer le chantier. En passant par un contractant général comme Stoniz, vous bénéficiez d’un suivi rigoureux, d’un contrôle qualité sur place et de finitions conformes aux standards, tout en profitant de coûts nettement inférieurs.
Les démarches pour un investisseur étranger au Maroc sont simples. Il faut obtenir un identifiant fiscal (via un notaire) et ouvrir un compte en dirhams convertibles pour rapatrier revenus ou plus-values. L’achat se fait devant un notaire marocain qui sécurise la transaction et vérifie le titre de propriété. Les étrangers peuvent acquérir librement appartements, villas ou locaux (seules les terres agricoles exigent une autorisation). Pour un terrain non bâti, mieux vaut demander une VNA pour l’enregistrer. Une fois propriétaire, vous pouvez déléguer la gestion locative sans résider sur place. Globalement, les étapes sont proches de la France, avec quelques formalités locales où un accompagnement juridique fiable simplifie tout.
La fiscalité locative au Maroc est avantageuse pour les investisseurs, d’autant plus qu’il existe une convention fiscale franco-marocaine évitant la double imposition. Concrètement, si vous êtes français et que vous louez un bien au Maroc, vos loyers seront imposés uniquement au Maroc (pas d’impôt doublon en France). En résumé, les loyers de votre bien marocain supporteront peu de charges fiscales, ce qui améliore d’autant le rendement net de votre investissement.
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