Blog
Investir

4 méthodes pour investir dans l’immobilier

Découvrez 4 méthodes d’investissement immobilier adaptées à tous les profils : achat direct, SCPI, et co-investissement avec Stoniz.
7
April 2025
16
minutes
Partager cet article
investir immobilier

L’investissement immobilier est depuis longtemps une des stratégies les plus solides pour faire croître et sécuriser son patrimoine. Avec un bon équilibre entre sécurité, rendement et valorisation à long terme, l'immobilier offre des avantages qui attirent aussi bien les investisseurs débutants que ceux plus expérimentés. Pourtant, avec toutes les options qui existent, comment savoir par où commencer ?

Dans cet article, nous explorerons quatre stratégies d’investissement immobilier :

  • L’achat direct de biens immobiliers.
  • Les SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier).
  • Le co-investissement.
  • L’immobilier locatif saisonnier.

Nous examinerons les spécificités de chaque méthode, car bien qu’elles offrent des avantages, elles comportent aussi des aspects à prendre en compte. À première vue, elles peuvent sembler simples, mais certains détails peuvent vraiment faire la différence dans vos décisions d’investissement.

À la fin de cet article, nous vous fournirons un comparatif détaillé pour vous aider à choisir la méthode qui correspond le mieux à vos objectifs et à votre profil d’investisseur. En investissement immobilier, il n’y a pas de solution unique : chaque choix doit s’adapter à votre situation.

L’investissement immobilier comme stratégie pertinente

La résilience de l’immobilier

L’un des premiers atouts de l’investissement immobilier c’est sa résilience face aux crises. Contrairement à des actifs plus volatils comme les actions ou les cryptomonnaies, la pierre conserve généralement sa valeur, voire l’augmente dans les zones attractives. Historiquement, l’investissement immobilier est un placement de long terme qui traverse les cycles économiques sans trop de heurts. C’est aussi un moyen de transmettre un patrimoine à ses héritiers, renforçant ainsi sa fonction de placement intergénérationnel. Dans l’inconscient collectif, l’investissement immobilier est perçu comme une valeur refuge, rassurante et concrète, surtout en période d’incertitude.

Une source de revenus stables et récurrents

Investir dans l'immobilier locatif permet de percevoir des loyers réguliers, constituant ainsi une rente mensuelle qui peut compléter ou remplacer un revenu d’activité. Cette capacité à générer des flux de trésorerie stables en fait un pilier dans toute stratégie d’épargne ou de retraite. De plus, la variété des biens (résidentiel, commercial, saisonnier) et des formats d’investissement immobilier (achat en direct, SCPI, crowdfunding…), permet de construire un portefeuille équilibré en fonction de votre tolérance au risque.

Le levier du crédit immobilier

Autre atout majeur : l’effet de levier bancaire. En contractant un prêt immobilier, on peut investir dans l’immobilier avec peu d’apport personnel et constituer un patrimoine financé en grande partie par les loyers perçus. Ce mécanisme permet d’augmenter rapidement la valeur de son patrimoine. Par ailleurs, selon les législations, il existe des avantages fiscaux liés à l’investissement immobilier : déduction des intérêts d’emprunt, dispositifs de défiscalisation (Pinel, Malraux, etc.), amortissement, etc.

Un placement tangible

Enfin, contrairement aux placements financiers abstraits, l’investissement immobilier repose sur un actif concret, visible, exploitable. Cela rassure bon nombre d’épargnants qui souhaitent garder une forme de contrôle sur leur investissement. En somme, l’investissement immobilier reste un pilier solide pour bâtir, sécuriser et faire fructifier son patrimoine.

Stratégies d"investissement

Choisir l’investissement immobilier en direct

L’investissement immobilier en direct consiste à acheter un bien en son nom propre, sans passer par une structure intermédiaire comme une SCPI ou une plateforme de crowdfunding. C’est la forme la plus classique d’investissement immobilier, que ce soit pour une résidence principale, un bien locatif ou une résidence secondaire. Ce type d’investissement implique que l’acheteur est juridiquement et financièrement responsable du bien.

Le fonctionnement de l’investissement immobilier en direct

Le processus d’achat suit plusieurs étapes essentielles. Tout commence par la recherche du bien immobilier : il s’agit de cibler un logement (maison, appartement, studio, etc.) qui répond à vos objectifs (emplacement, rentabilité, potentiel de valorisation…). Une fois le bien trouvé, il faut généralement faire une offre d’achat, puis signer un compromis de vente. Durant ce laps de temps, l’investisseur doit monter un plan de financement : souvent un prêt immobilier, complété par un apport personnel. Une fois toutes les conditions suspensives levées, la vente se conclut par la signature de l’acte authentique chez le notaire, officialisant le transfert de propriété.

Les avantages d’un investissement immobilier en direct

  • Contrôle total : choix du bien, du locataire, des travaux et du moment de la revente.
  • Négociation : possibilité de discuter directement le prix d’achat et les conditions de vente.
  • Patrimoine tangible : un bien concret, valorisable et transmissible.
  • Sécurité à long terme : outil de prévoyance souvent intégré dans une stratégie de retraite.

Ce type d’investissement séduit les profils souhaitant bâtir leur propre stratégie patrimoniale et maîtriser chaque étape du projet immobilier.

Les inconvénients à anticiper

Mais investir seul dans un bien immobilier suppose aussi de faire face à plusieurs contraintes. 

  • Gestion chronophage : recherche de locataires, rédaction des baux, encaissement des loyers, suivi des travaux…
  • Frais de gestion : recours souvent nécessaire à une agence immobilière, avec des coûts supplémentaires.
  • Risque locatif : loyers impayés, vacances locatives ou baisse de la valeur du bien.
  • Fonds propres importants : apport personnel, frais de notaire et budget travaux à prévoir dès l’entrée dans le projet.

Ce type d’investissement s’adresse donc aux profils prêts à s’impliquer activement dans la gestion de leur patrimoine.

Exemple concret : Julie, investisseuse à Lyon

Prenons l’exemple de Julie, 32 ans, qui a décidé d’acheter un studio à Lyon pour le louer à des étudiants. Elle trouve un bien de 120 000 € dans un quartier proche des universités. Avec un apport de 20 000 € et un prêt de 100 000 € sur 20 ans, elle rembourse environ 550 € par mois. Elle loue le studio 650 € charges comprises, ce qui lui permet de couvrir son crédit et de dégager un petit excédent pour les charges et l’entretien. À terme, Julie espère revendre le studio avec une plus-value ou le conserver comme complément de revenus pour la retraite. Cet exemple illustre bien les perspectives offertes par l’investissement immobilier en direct, à condition de bien choisir son bien et d’anticiper les charges.

Investir via une SCPI ou un fonds immobilier

L’investissement immobilier ne passe pas nécessairement par l’achat d’un bien en direct. Il est tout à fait possible d’investir via une SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) ou un fonds immobilier. Cela permet d’accéder au marché immobilier sans avoir à acheter un bien physique en direct. Il s’agit d’un investissement collectif : au lieu d’acquérir un logement ou un local commercial, l’épargnant achète des parts d’une société qui, elle, détient un portefeuille diversifié de biens immobiliers. Ces biens peuvent être des bureaux, des commerces, des résidences de services ou encore des entrepôts logistiques, selon la stratégie de la SCPI.

Le fonctionnement est relativement simple : chaque investisseur détient une fraction du patrimoine global de la SCPI, au prorata de son investissement. En retour, il perçoit une part des loyers collectés, généralement redistribués sous forme de dividendes trimestriels. L’un des grands avantages de ce type d’investissement réside dans la mutualisation du risque : en investissant dans une SCPI, on devient indirectement propriétaire d’une multitude de biens situés dans différentes régions, voire différents pays. La gestion est entièrement déléguée à des professionnels, qui s’occupent de la sélection des biens, des travaux, de la mise en location et du recouvrement des loyers.

Les avantages d’une SCPI ou d’un fonds immobilier

Les SCPI et fonds immobiliers présentent plusieurs atouts pour les investisseurs :

  • Accessibilité : avec quelques milliers d’euros, il est possible de réaliser un premier investissement immobilier.
  • Diversification : les actifs sont répartis sur plusieurs zones géographiques et secteurs (bureaux, santé, logistique…).
  • Zéro gestion : aucune charge locative ni gestion à assurer, tout est délégué à des professionnels.
  • Revenus potentiels réguliers : les SCPI de rendement visent à distribuer des loyers stables aux associés.

Ce type d’investissement immobilier passif attire particulièrement les profils souhaitant générer des revenus complémentaires sans mobiliser un capital important ni y consacrer du temps.

À connaître avant de se lancer

Comme tout investissement immobilier, celui réalisé via une SCPI comporte aussi quelques limites :

  • Absence de contrôle : l’investisseur ne choisit ni les biens, ni les locataires, ni les arbitrages de gestion.
  • Frais de gestion : souvent situés entre 8 et 10 %, ils pèsent sur la rentabilité nette.
  • Moins de liquidité : la revente des parts peut être plus longue qu’un produit financier classique.
  • Risque de perte en capital : en cas de crise sur le marché immobilier, les dividendes peuvent baisser et la valeur des parts reculer.

Il s’agit donc d’un investissement immobilier à envisager sur le moyen ou long terme, avec une vision patrimoniale diversifiée.

Exemple concret : un investissement immobilier en SCPI

Prenons l’exemple de Thomas, un salarié de 40 ans qui souhaite diversifier son épargne. Il investit 5 000 € dans une SCPI spécialisée dans l’immobilier de bureaux, avec un horizon de placement de 10 ans.

Avec un taux de distribution de 6,25 %, Thomas percevra des dividendes trimestriels proportionnels à son investissement. Il pourrait ainsi obtenir un revenu brut estimé à 312,50 € pour l'année, soit environ 78,13 € par trimestre.

Sur une période de 10 ans, avec un taux de rendement interne (TRI) de 4,44 %, l’investissement de Thomas pourrait voir son capital évoluer, sous réserve de la stabilité du marché et des performances de la SCPI. La revalorisation hypothétique du capital estimée après 10 ans (en fonction du TRI) sera d’environ 7 080 €, soit une augmentation de 2 080 € par rapport à son investissement initial de 5 000 €.

Cet exemple montre l’intérêt pour les SCPI dans une stratégie d’investissement immobilier diversifiée. Cela peut être une solution simple et progressive pour se lancer dans l’immobilier, en profitant de ses avantages sans les contraintes du propriétaire classique.

Opter pour le crowdfunding immobilier

Le crowdfunding immobilier, ou financement participatif, est une nouvelle forme d’investissement immobilier qui permet de placer son argent dans la pierre sans avoir à acheter un bien seul. Il repose sur un principe de co-investissement : plusieurs épargnants mettent en commun leurs fonds pour acquérir collectivement un bien immobilier (appartement, maison, local professionnel…). Chaque investisseur devient copropriétaire du bien à hauteur de sa mise et perçoit en retour une fraction des revenus générés (loyers ou plus-values potentielles).

Ce mode d’investissement immobilier collaboratif permet de profiter des avantages du marché tout en limitant les contraintes et les barrières à l’entrée.

Les avantages du co-investissement

Ces plateformes proposent des solutions de co-investissement immobilier accessible à un large public. Elles sélectionnent des projets rigoureusement évalués selon des critères de rentabilité, de localisation et de potentiel de valorisation. Chaque investisseur peut ainsi choisir un projet en fonction de ses objectifs. L’ensemble du processus – de l’acquisition à la gestion locative – est entièrement pris en charge. Un espace personnel permet de suivre la performance des projets, de consulter les documents juridiques et de recevoir des reportings réguliers.

Le co-investissement immobilier présente plusieurs atouts :

  • Accessibilité : il est possible de démarrer un investissement immobilier sans apport à partir d’un montant bien en dessous du coût d’un achat classique.
  • Diversification : on peut répartir son capital sur plusieurs projets immobiliers pour lisser les risques.
  • Mutualisation : les risques locatifs ou liés au marché sont partagés entre tous les co-investisseurs.
  • Simplicité : aucun besoin de chercher un locataire ou de s’occuper des réparations de son bien, par exemple. La gestion et les démarches administratives sont automatisées et gérées par des professionnels.

C’est une solution idéale pour ceux qui souhaitent se lancer dans l’investissement immobilier sans s’engager dans une gestion chronophage.

Les limites à considérer

Comme tout investissement immobilier, le crowdfunding présente quelques contraintes avec notamment un contrôle limité sur la gestion du bien. L’investisseur ne prend pas part aux décisions stratégiques ou opérationnelles. Par ailleurs, la liquidité des parts peut être moins fluide qu’avec un bien détenu en direct : la revente dépend du marché secondaire ou des opportunités offertes par la plateforme.

Exemple concret : 15 000 € dans un projet urbain

Prenons l’exemple de Karim, 38 ans, qui souhaite investir 15 000 € dans un projet immobilier : un appartement situé en centre-ville de Marrakech, destiné à la location meublée. Il devient copropriétaire du bien avec d'autres investisseurs.

Grâce au rendement brut annoncé de 6%, Karim espère percevoir environ 900€ par an, tout en bénéficiant d’un suivi régulier et d’une gestion clé en main. Une solution simple pour se lancer dans l’immobilier sans s’encombrer des soucis habituels.

{{cta-toutes-realisations="/cta"}}

La rentabilité avec Airbnb et les locations de vacances

Location saisonnière

L’investissement immobilier locatif saisonnier consiste à acheter un bien immobilier dans le but de le louer pour de courtes durées, à une clientèle touristique ou professionnelle. Contrairement à la location classique, les séjours sont souvent de quelques jours à quelques semaines. Cette formule séduit de plus en plus d’investisseurs, notamment grâce à l’essor des plateformes comme Airbnb ou Abritel, qui facilitent la mise en relation avec les voyageurs, la gestion des réservations et la fixation des tarifs.

Ce type d’investissement immobilier repose sur une logique de flexibilité et d’optimisation. Le fonctionnement est simple sur le papier : l’investisseur acquiert un bien (appartement, studio, maison) idéalement situé dans une zone à fort attrait touristique ou économique. Il le meuble, le décore, puis le propose à la location sur des plateformes dédiées. La rotation rapide des locataires permet de moduler les prix selon les saisons, les événements locaux ou encore le taux d’occupation, ce qui peut fortement optimiser la rentabilité. Pour connaître le taux d’occupation des établissements d’hébergement touristique ou le flux de voyageurs selon la période, consultez les publications de l’Observatoire du tourisme au Maroc.

Les avantages et inconvénients de l’investissement immobilier saisonnier

L’immobilier locatif saisonnier présente plusieurs avantages qui en font une option intéressante pour les investisseurs à la recherche de revenus plus élevés. Voici les principaux points à retenir :

  • Rentabilité locative souvent supérieure à celle de la location longue durée, surtout dans les zones très fréquentées.
  • Possibilité de profiter du bien pour des séjours personnels, grâce à la flexibilité d’usage.
  • Les outils en ligne comme Airbnb ou Abritel facilitent la gestion des annonces, du calendrier et des paiements.
  • Maximisation des revenus pendant les périodes de forte demande (saison estivale, événements, vacances).

Cependant, cette méthode comporte aussi des inconvénients importants. Voici les principaux défis à anticiper :

  • Gestion quotidienne plus lourde : entre les arrivées, les départs, le ménage, la remise des clés et la gestion des avis des locataires, la charge de travail est conséquente.
  • Nécessité de faire appel à des prestataires locaux pour gérer l'entretien, le ménage, la remise des clés et les services complémentaires.
  • Certaines villes encadrent strictement ce type de location, avec des réglementations spécifiques, des quotas ou des autorisations à obtenir avant de pouvoir louer légalement.
  • Des frais supplémentaires pour l’ameublement, la décoration, l’entretien, et les prestations de ménage doivent être pris en compte dans le calcul de la rentabilité de l’investissement.

Exemple : un bien à Marrakech pour de la location saisonnière

Imaginons Sarah, investisseuse de 35 ans, qui décide de diversifier son patrimoine grâce à un investissement immobilier locatif saisonnier à Marrakech. Avec un tarif moyen de 180 € par nuit et un taux d’occupation de 82 %, le bien génère plus de 4 428 € de revenus mensuels bruts. À ce montant, il faudra déduire les frais de gestion confiés à une entreprise locale (accueil des voyageurs, ménage), tout en gardant la possibilité d’en profiter quelques semaines par an.

Ce cas illustre parfaitement comment un investissement immobilier saisonnier peut combiner rendement, souplesse et plaisir d’usage, à condition de bien choisir l’emplacement et de s’entourer des bons partenaires.

Comparatif des principales méthodes d’investissement immobilier

méthodes d’investissement immobilier

Définir la stratégie la plus adaptée pour investir dans l’immobilier

Réussir son investissement immobilier repose avant tout sur une stratégie bien définie, alignée avec ses objectifs personnels, sa situation financière et son appétence au risque. Il n’existe pas de recette universelle : chaque projet immobilier doit être pensé en fonction des priorités de l’investisseur et de ses moyens.

Définir ses objectifs et son profil d’investisseur

Avant même de choisir un type d’investissement immobilier – location saisonnière, co-investissement, SCPI ou achat en direct – il est important de se poser les bonnes questions. Souhaitez-vous investir dans l’immobilier pour générer des revenus rapidement ou bâtir un patrimoine sur le long terme ? Avez-vous une tolérance au risque élevée ou préférez-vous la sécurité d’un placement stable ? Quel temps êtes-vous prêt à consacrer à la gestion de votre investissement immobilier ?

Un investisseur cherchant de la rentabilité à court terme pourra se tourner vers la location saisonnière ou le crowdfunding immobilier. À l’inverse, un profil plus prudent, avec une vision long terme, privilégiera une SCPI ou l’achat d’un bien locatif classique. La diversification peut aussi être un objectif en soi : répartir ses investissements immobiliers permet de lisser les risques et de profiter de différentes opportunités.

Tenir compte de sa situation financière

Votre situation financière joue un rôle central dans le choix de votre investissement immobilier. Il est indispensable d’évaluer votre capacité d’emprunt, le montant de votre épargne disponible, et votre taux d’endettement. Ces éléments vous aideront à savoir si vous pouvez financer un achat immobilier seul, ou s’il vaut mieux démarrer avec un investissement collectif à faible ticket d’entrée.

Un bilan financier, réalisé seul ou avec un conseiller en gestion de patrimoine, permet de clarifier vos marges de manœuvre. Un professionnel peut vous orienter vers la meilleure stratégie d’investissement immobilier, en fonction de vos objectifs et de votre profil.

Exemple de parcours d’investissement immobilier progressif

Julien, 32 ans, souhaite se lancer dans l’immobilier avec 15 000 € d’épargne. Plutôt que d’acheter seul un bien, il choisit de répartir son capital sur plusieurs projets, en co-investissant dans trois opérations locatives sélectionnées pour leur potentiel.

Chaque projet offre un rendement net moyen de 7% par an. En investissant 15 000 €, Julien perçoit environ 1 050 € de revenus annuels, soit 5 250 € de revenus bruts sur 5 ans, tout en diversifiant ses placements.

En parallèle, Julien continue à épargner 200 € par mois, soit 12 000 € supplémentaires en 5 ans.

À l’issue des 5 ans :

  • Il dispose de 15 000 € de capital initial + 5 250 € de revenus locatifs, soit 20 250 € issus du co-investissement (valeur de revente incluse),
  • et 12 000 € d’épargne personnelle.

Total : 32 250 € d’apport pour son premier achat immobilier en direct, financé via un crédit. Grâce à ce parcours progressif, Julien a acquis de l’expérience, généré des revenus intermédiaires et constitué un apport solide tout en limitant les risques liés à un premier achat.

{{cta-service-cle-en-main-intro="/cta"}}

L’investissement immobilier offre de nombreuses possibilités pour bâtir un patrimoine solide et générer des revenus complémentaires. Qu’il s’agisse d’achat en direct, de SCPI, de crowdfunding ou de co-investissement, chaque méthode présente des atouts spécifiques, selon votre budget, vos objectifs et votre appétence à la gestion. L’essentiel est de choisir une stratégie cohérente avec votre profil d’investisseur. Avec les bons outils et un accompagnement adapté, l’immobilier reste une valeur sûre pour sécuriser l’avenir.

Pour aller plus loin
Quel est la méthode d’investissement immobilier la plus simple à gérer ?

Si vous souhaitez percevoir des revenus passifs sans vous charger de la gestion, des solutions comme les SCPI ou le co-investissement clé en main sont idéales. L’ensemble des démarches est délégué à des experts, tels que Stoniz : acquisition, mise en location, suivi comptable… Un vrai gain de temps pour les investisseurs trop occupés.

Comment investir dans l’immobilier avec un petit capital ?

Il n’est plus nécessaire d’avoir un gros apport pour se lancer. À travers le co-investissement structuré, certaines sociétés , comme Stoniz, permettent d’accéder à l’immobilier à partir de montants réduits, sans recourir à un crédit bancaire, tout en accompagnant l’investisseur dans sa stratégie patrimoniale.

Est-ce que je peux diversifier mes investissements sans multiplier les démarches ?

Oui, tout l’intérêt des solutions collectives, c’est justement de pouvoir répartir son capital sur plusieurs projets (zones, types de biens) via une seule structure. Cela permet de lisser les risques, sans avoir à acheter plusieurs biens en propre ni gérer plusieurs locations.

Le co-investissement immobilier est-il adapté aux débutants ?

C’est souvent l’une des meilleures portes d’entrée pour ceux qui veulent découvrir l’investissement immobilier sans se lancer seuls. En confiant la sélection des biens et la gestion locative à une structure comme Stoniz, l’investisseur se concentre sur sa stratégie, tout en apprenant progressivement les leviers du marché.

Plus d'articles